Inspection des chaussées : les patrouilleurs veillent au grain
date 27/05/2024 - 10:53 | micro_reportage Christophe Buquet
Les chaussées des autoroutes sont soumises à une usure constante due au trafic routier. Pour garantir la sécurité et le confort des usagers, une surveillance et un contrôle réguliers sont nécessaires. Les inspections visuelles, réalisées par les patrouilleurs, font partie des premières étapes, suivies de campagnes d'inspection triennales plus approfondies, portant sur l'adhérence, le confort et le vieillissement de la chaussée.
Image d'illustration générée via IA
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Inspection des chaussées : les patrouilleurs veillent au grain
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Comment sont inspectées les chaussées ? Avec des milliers de véhicules qui circulent chaque jour, l'usure de l'enrobé est inévitable et reste un enjeu majeur pour la sécurité et le confort des usagers de la route. Eric Barlet, directeur d'exploitation d'Atlandes, souligne l'importance des inspections visuelles quotidiennes réalisées par ses équipes : « Tout d'abord la première inspection, c'est le visuel de nos patrouilleurs lorsqu'ils circulent sur l'autoroute. Ils regardent la chaussée, les ouvrages, les objets sur les voies, tout ce qui peut se passer, mais en prêtant une attention particulière à l'état de la chaussée. »
En plus de ces contrôles journaliers, des campagnes d'inspection plus poussées sont menées tous les trois ans. Eric Barlet précise que ces vérifications portent sur plusieurs aspects : « Tous les trois ans, de grandes campagnes d'inspection sont programmées. Les contrôles sont sur l'adhérence même de la chaussée pour savoir si, lorsqu'on va freiner ou en cas de pluie, la chaussée va pouvoir rendre sa bonne utilisation. Il y a aussi des reconnaissances qui se font sur le confort même de la chaussée, savoir si on n'est pas sur de la tôle ondulée ou si ça donne mal au cœur. »
Pour réaliser ces mesures, des engins de contrôle spécifiques sont utilisés, comme l'explique Eric Barlet : « Il y a un troisième contrôle qui est fait sur le vieillissement de la chaussée. Ce sont des engins de contrôle qui réalisent ces mesures. Ce sont des appareils qu'on appelle à grand rendement avec un véhicule, c'est souvent un camion, qui tire derrière une petite remorque et on circule à certaines vitesses. » Ces inspections permettent de déterminer si la chaussée est conforme et si des travaux doivent être prévus.
Notez que la durée de vie d'une chaussée est de 12 à 15 ans.
En plus de ces contrôles journaliers, des campagnes d'inspection plus poussées sont menées tous les trois ans. Eric Barlet précise que ces vérifications portent sur plusieurs aspects : « Tous les trois ans, de grandes campagnes d'inspection sont programmées. Les contrôles sont sur l'adhérence même de la chaussée pour savoir si, lorsqu'on va freiner ou en cas de pluie, la chaussée va pouvoir rendre sa bonne utilisation. Il y a aussi des reconnaissances qui se font sur le confort même de la chaussée, savoir si on n'est pas sur de la tôle ondulée ou si ça donne mal au cœur. »
Pour réaliser ces mesures, des engins de contrôle spécifiques sont utilisés, comme l'explique Eric Barlet : « Il y a un troisième contrôle qui est fait sur le vieillissement de la chaussée. Ce sont des engins de contrôle qui réalisent ces mesures. Ce sont des appareils qu'on appelle à grand rendement avec un véhicule, c'est souvent un camion, qui tire derrière une petite remorque et on circule à certaines vitesses. » Ces inspections permettent de déterminer si la chaussée est conforme et si des travaux doivent être prévus.
Notez que la durée de vie d'une chaussée est de 12 à 15 ans.
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