Etre heureux comme un cheval !
date 06/02/2020 - 21:48 | micro_reportage Nadine Mistre
Soulager les maux, les difficultés de la vie grâce à l'équithérapie, ou comment la relation avec le cheval peut aider les personnes en souffrance psychologique, enfants ou adultes...
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Nadine Mistre nous emmène dans le Var, aux Arcs-sur-Argens, pour découvrir l'équithérapie avec l'association « Les Amis de Jalna » et sa fondatrice, Pascale Ducrot, équithérapeute...
Elle reçoit un public très varié : « tous les enfants qui ont des troubles du comportement, qui ont de l'hyperactivité. Les enfants, évidemment atteints aussi de syndrome autistique. Et on n'est pas limité dans l'âge puisqu'on travaille beaucoup avec les personnes âgées. »
L'idée est de guérir en revenant à l’essentiel : « On a des personnes qui font des burn-out et qui n'arrivent plus justement à essayer de trouver un équilibre dans leur vie. Le cheval, lui, est enraciné. Il est dans la réalité. Et donc en étant au contact du cheval, on peut peut-être reconstruire un peu où vous en êtes dans votre vie. Qu'est-ce que vous avez fait ? Qu'est-ce que vous voudriez ? Pourquoi ça ne va pas ? Qu'est-ce qui pourrait être fait ? »
La séance d'équithérapie se déroule tout simplement en retrouvant le cheval dans son milieu naturel : « dans les prés... Les chevaux vivent en troupeaux et ne vivent pas en boxe. Ils sont autonomes et gèrent leur vie comme ils veulent. Donc, cette rencontre avec les chevaux dans leur milieu naturel fait que la personne va devoir mettre en place des codes de communication qui puissent être intéressants pour le cheval, de manière à ce que le cheval vienne à la personne pour entamer une relation. Si on met une personne en contact du cheval, on va raconter sa vie. »
Avec un effet positif immédiat selon Pascale Ducrot : « Quand on est dans un milieu naturel, c'est déjà un moment de paix, de calme. Mais en plus, quand on est au contact du cheval, ça va apaiser toutes ces tensions mentales. Dans cette société qui n'arrive plus à communiquer et bien on réapprend à se parler.
(...)
Les gens sont bien souvent soit trop dans le passé, soit se projettent trop dans l'avenir. Ça ne sert à rien puisque l'avenir, tout va tellement vite qu'on ne sait même pas de quoi demain sera fait. Il faut être comme le cheval parce que lui le cheval il est heureux. Il ne pense qu'à l'instant présent. Et l'école du cheval, c'est la meilleure école pour finalement se rendre compte que dans la vie, prendre soin de soi, c'est déjà prendre conscience qu'on est vivant, tout de suite, maintenant ! »
Elle reçoit un public très varié : « tous les enfants qui ont des troubles du comportement, qui ont de l'hyperactivité. Les enfants, évidemment atteints aussi de syndrome autistique. Et on n'est pas limité dans l'âge puisqu'on travaille beaucoup avec les personnes âgées. »
L'idée est de guérir en revenant à l’essentiel : « On a des personnes qui font des burn-out et qui n'arrivent plus justement à essayer de trouver un équilibre dans leur vie. Le cheval, lui, est enraciné. Il est dans la réalité. Et donc en étant au contact du cheval, on peut peut-être reconstruire un peu où vous en êtes dans votre vie. Qu'est-ce que vous avez fait ? Qu'est-ce que vous voudriez ? Pourquoi ça ne va pas ? Qu'est-ce qui pourrait être fait ? »
La séance d'équithérapie se déroule tout simplement en retrouvant le cheval dans son milieu naturel : « dans les prés... Les chevaux vivent en troupeaux et ne vivent pas en boxe. Ils sont autonomes et gèrent leur vie comme ils veulent. Donc, cette rencontre avec les chevaux dans leur milieu naturel fait que la personne va devoir mettre en place des codes de communication qui puissent être intéressants pour le cheval, de manière à ce que le cheval vienne à la personne pour entamer une relation. Si on met une personne en contact du cheval, on va raconter sa vie. »
Avec un effet positif immédiat selon Pascale Ducrot : « Quand on est dans un milieu naturel, c'est déjà un moment de paix, de calme. Mais en plus, quand on est au contact du cheval, ça va apaiser toutes ces tensions mentales. Dans cette société qui n'arrive plus à communiquer et bien on réapprend à se parler.
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Les gens sont bien souvent soit trop dans le passé, soit se projettent trop dans l'avenir. Ça ne sert à rien puisque l'avenir, tout va tellement vite qu'on ne sait même pas de quoi demain sera fait. Il faut être comme le cheval parce que lui le cheval il est heureux. Il ne pense qu'à l'instant présent. Et l'école du cheval, c'est la meilleure école pour finalement se rendre compte que dans la vie, prendre soin de soi, c'est déjà prendre conscience qu'on est vivant, tout de suite, maintenant ! »
Pascale Ducrot
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