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Andy Grammer

date 02/09/2019 - 19:44 | micro_reportage Chrystèle Mollon
Il nous vient de l’autre côté des États-Unis, Santa Monica en Californie. On monte le son pour Andy Grammer.
illustration de Andy Grammer
© DR 
 Andy Grammer
 Andy Grammer
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Notre journaliste, Chrystèle Mollon a rencontré Andy Grammer, dont le papa était chanteur et qui lui a transmis le virus de la musique…

« Oui, mon père est chanteur, chanteur pour enfants, et ma mère l’aide à écrire ses chansons. Mon père a même reçu plusieurs nominations aux Grammy Awards (équivalent des Victoires de la musique) dans cette catégorie de chansons enfantines. En fait, j’ai passé mon enfance entouré de personnes qui écrivaient tout le temps des chansons. Ce n’est qu’en grandissant que j’ai réalisé que ce n’était pas si commun de vivre dans une famille au sein de laquelle ça ne parlait que d’écriture, de composition, d’arrangements de chansons. Moi, je savais que j’étais attiré par les arts. J’ai donc commencé par prendre des cours de théâtre, avant de me rendre compte que les mots que je prononçais, je voulais les écrire moi-même. »

Vous avez commencé à chanter dans la rue à Santa Monica ?

« Oui c’est ça. Pendant 4 ans, c’est comme ça que je payais mon loyer à Los Angeles. Et puis un jour, j’ai écrit une chanson qui s’appelle Keep Your Head Up, et les gens s’arrêtaient plus que d’habitude pour m’écouter, donc je me suis dit : Ah, là, y’a quelque chose ! Et cette chanson a effectivement connu un gros succès aux États-Unis, ce qui m’a en quelque sorte sorti de la rue. »

Don’t Give Up On Me est extraite du film Five Feet Apart, et qui raconte une histoire d’amour entre 2 adolescents atteints de mucoviscidose. En français, on pourrait la traduire par « ne me laisse pas tomber ». C’est une valeur importante pour vous de soutenir des amis, des personnes qui sont dans le creux de la vague ?

« Je pense même que c’est quelque chose que l’on aurait besoin d’entendre très souvent, pas juste une fois de temps en temps. La vie, c’est souvent une question de persévérance. Il faut réussir à esquiver les épreuves pour profiter des bons moments. Et ce que j’adore dans ce genre de chansons, c’est que quand vous l’entendez à la radio, vous avez l’impression qu’elle a été écrite juste pour vous, et elle vous rappelle combien il est important de continuer, d’y croire et d’avancer. »

J’ai lu que vous aviez décidé d’offrir une partie des recettes de ce single à la fondation qui a inspiré le réalisateur du film Justin Baldoni ?

« Oui, il se trouve que Justin Baldoni est l’un de mes meilleurs amis. Un jour, il m’envoie un message pour me demander si je n’avais pas un morceau pour son film. Or je venais d’écrire ce titre, Don’t Give Up On Me, qui collait parfaitement à l’histoire. Qui collait tellement bien, même, qu’il me semblait juste de faire don des bénéfices à la fondation Claire Wineland.»

Il y a quelques années, vous avez réenregistré votre titre Keep Your Head Up » en duo avec la chanteuse française Mélissa Nkonda. Comment s’était passé cet enregistrement ?

« On a chanté ensemble, et en plus, c’est la première fois que je faisais un duo dans une autre langue que l’anglais… j’ai adoré ! »

Le clip d'Andy Grammer - « Don't Give Up On Me »

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